Bassolma Bazié a ainsi cité Aimé Césaire et poursuivi son idée : « certes, l’Occident a violenté, volé et violé l’Afrique ».
« Nous décidons désormais de dire non. Non à tous ces « amis qui nous veulent du bien » au point de nous menacer de guerre pour imposer leur amitié », a annoncé l’homme politique depuis la tribune onusienne.
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