Après deux mois de silence et une vague de rumeurs malveillantes sur les réseaux sociaux, l’ancien ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Alphonse Charles Wright, a fermement démenti les allégations concernant son arrestation. Des informations persistantes l’accusaient d’avoir enregistré Son Excellence Monsieur le président de la République, le Général Mamadi Doumbouya, dans un stratagème que M. Wright qualifie d’échec retentissant.
Dans une déclaration publiée sur son compte Facebook, M. Wright a tenu à rassurer sa famille, ses avocats et ses proches, qui s’inquiétaient de la situation. « Je tenais à les rassurer que ces informations sont purement et simplement fausses », a-t-il affirmé.
L’ancien ministre a souligné la nature de sa relation avec le chef de l’État : « J’entretiens des rapports de confiance, de sincérité et de loyauté sans faille avec Son Excellence Monsieur le président de la République. » Il a réitéré son engagement indéfectible envers cette relation, affirmant qu’il continuerait à la maintenir.
Face à ces « agissements » qu’il qualifie de malveillants, Alphonse Charles Wright a annoncé des mesures concrètes. « Dans les jours à venir, je prendrai la responsabilité, en concert avec mes avocats, de saisir les juridictions compétentes pour que cessent de tels agissements », a-t-il déclaré, marquant ainsi sa détermination à lutter contre la désinformation.
Clair et catégorique, M. Wright a conclu son message avec une posture de défi : « J’ai la conscience tranquille et je continuerai à garder à jamais cette relation de confiance, de loyauté et de sincérité envers Monsieur le président de la République. Vous continuerez à prendre nos mauvaises intentions pour vérités et le dernier mot reviendra toujours à Allah, le Maître de l’univers. »
Cette sortie de l’ancien Garde des Sceaux met fin à deux mois de spéculations intenses sur son sort, réaffirmant sa position et son intégrité face aux tentatives de déstabilisation.
La rédaction