Horoya : De la manipulation à la vérité, l’affaire Ibrahima Koné élucidée

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Le directeur général du Quotidien National Horoya, Ibrahima Koné vient de rétablir la vérité face aux accusations infondées.

Dans un contexte de polémique orchestrée sur les réseaux sociaux, Ibrahima Koné, directeur général du Quotidien National Horoya, a brillamment démontré ce mardi l’inanité des accusations portées contre lui concernant l’intégration des stagiaires du journal à la fonction publique.

Loin d’être l’obstacle que ses détracteurs tentent de dépeindre, M. Koné apparaît au contraire comme le défenseur constant et déterminé des intérêts de ses collaborateurs, victime d’une campagne de dénigrement aussi malveillante qu’injustifiée.

L’intervention de M. Koné lors de la réunion hebdomadaire a révélé une réalité que ses accusateurs préfèrent ignorer : son engagement indéfectible pour l’intégration des stagiaires remonte à plusieurs années, bien avant l’arrivée du ministre Fana Soumah au département.

« J’ai posé ce même problème quand Fana Soumah a été nommé ministre« , a-t-il rappelé avec transparence, démontrant ainsi la continuité de son action. Cette déclaration suffit à elle seule à démentir toute velléité personnelle contre le ministre actuel.

Plus révélateur encore, M. Koné avait déjà alerté, sous l’administration précédente d’Aminata Kaba, sur les risques de disparité de traitement entre les stagiaires des différentes structures du ministère.

« Si vous acceptez uniquement les stagiaires de la RTG, vous allez créer un problème« , avait-il prophétiquement déclaré, propos consignés dans les procès-verbaux officiels.

Cette vision prospective et cette préoccupation d’équité témoignent d’un dirigeant soucieux de justice sociale, non d’un manipulateur comme tentent de le présenter ses détracteurs.

Les accusations de « complot » contre le ministre Fana Soumah relèvent de la pure fabrication, comme l’a magistralement démontré M. Koné en révélant avoir personnellement contacté le ministre le matin même pour clarifier la situation.

Cette démarche proactive, empreinte de loyauté hiérarchique et d’amitié sincère, contraste singulièrement avec l’image de conspirateur que tentent de véhiculer ses accusateurs.

« Fana et moi, nous sommes amis de longue date. Il est aujourd’hui mon ministre et je le respecte hiérarchiquement« , a-t-il affirmé avec une dignité qui force le respect.

L’absurdité des accusations devient évidente quand on considère les limites statutaires de ses prérogatives : « Même un stagiaire, je n’ai pas le droit de l’engager. Horoya est une direction rattachée, et ce genre de décisions relève d’un autre niveau. »

Comment pourrait-on reprocher à un homme de ne pas exercer un pouvoir qu’il ne possède pas ?

Plutôt que de céder à la facilité démagogique en attisant les tensions, M. Koné a fait preuve d’un leadership éclairé en appelant au calme et à la méthode.

Son message aux stagiaires :  « faites-le dans l’ordre et la discipline » , témoigne d’une maturité politique remarquable.

En encourageant une approche constructive « formez une délégation et allez le voir » tout en dénonçant la propagation de « fausses informations« , le directeur général d’Horoya a démontré sa capacité à conjuguer soutien aux revendications légitimes et respect des institutions.

Face à cette tempête médiatique, Ibrahima Koné aurait pu adopter une posture défensive ou vindicative.

Il a choisi la voie de la pédagogie et de l’appel à la raison : « À un moment donné, il faut arrêter les malentendus et avancer de manière ordonnée. »

Cette sagesse, cette capacité à transcender les attaques personnelles pour privilégier l’intérêt général, révèle la stature d’un dirigeant authentique, bien éloigné du portrait caricatural que tentent de brosser ses détracteurs.

L’affaire des stagiaires d’Horoya aura finalement eu le mérite de révéler la véritable personnalité d’Ibrahima Koné : un dirigeant intègre, loyal et soucieux du bien-être de ses collaborateurs, victime d’une campagne de désinformation aussi grossière qu’inefficace.

Loin d’être affaibli par ces attaques, M. Koné sort grandi de cette épreuve, ayant démontré par sa gestion de la crise les qualités qui font de lui un dirigeant de presse respecté et respectable.

Reste maintenant à espérer que cette mise au point mettra fin à une polémique stérile et permettra de se concentrer sur l’essentiel : l’avenir professionnel des stagiaires du Quotidien National Horoya, cause pour laquelle leur directeur général n’a cessé de se battre, envers et contre tous.

 

Minkael Barry 

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